Une société qui néglige son capital avenir : les enfants
09/01/2014
Je ressens une profonde tristesse en voyant les enfants à Kidal et dans le Sahara en général vadrouiller tous les jours sans rien faire. On pourrait me dire : ils sont jeunes, l’avenir leur ouvrira des portes. C’est possible, mais, pour construire un avenir presque sûr, même s’il ne l’est jamais vraiment, ça commence aujourd’hui et non demain ni l’année prochaine. Attendre qu’un événement se calme ou cesse de faire mal…